Ta démonstration n'est en rien probante. Si tu desserres les tés, tu augmente les jeux. Inévitablement tu pourras plus aisément 'vriller' la fourche... si ce n'est en avoir l'impression vu que tes jambes ne sont certainement pas un modèle de rigidité* a écrit :C'est dingue comment tu peux être persuadé d'avoir raison et ceci avec des explications à la con qui au final ne démontrent rien.
On dirait que tu n'as jamais vu de fourche vrillée.
Alors on va faire simple et efficace:
Si tu as le temps ce weekend, passe dans ton atelier et tente cette petite expérience:
Desserre les tubes de leur T.
Maintient la roue entre tes jambes et imprime un mouvement rotation au guidon et tu verras comment une fourche peut se vriller facilement.
Pourtant tout le monde est à sa place. les tubes les T ton écrou bouchonné à 13kg etc......
Il y a dans chaque pièce usinée une tolérance de fabrication et surtout une capacité à se déformer sous la contrainte.
Une fourche de moto n'ayant jamais été la panacée en matière de rigidité et de guidage, il ne faut pas prendre à la légère son assemblage.
Mais chacun fait comme il veut...hein?

La jante immobilisée dans un 'étau' et les tés serrés, il doit falloir tout de même exercer un bon effort avant de pouvoir mesurer un vrillage conséquent du train avant. Vrillage néanmoins possible puisque l'acier est flexible. Mais encore faudrait-il pouvoir être capable de faire la différence entre la flexibilité des différents éléments composant le train avant (guidon, tés, fourche, jante, .etc)...