la subtile mélodie qui émane des lafranconis d'origine de mon nouveau joujou ne me dresse pas autant le poil que les "riservato competizioné" de feu mon lmIII...
je pense qu'à 61000km, le rodage est presque fini, je n'attends guère d'évolution naturelle maintenant...
donc ma quête du mistral a déjà commencée, et n'aura de cesse...
pour moi, le son est indissociable d'une guzz'
et je parle se son, pas de barouf
... un petit octave quoi...!
mais pour ce qui est de l'immersion dans la dense circulation parisienne, y a pas photo... avec le le mansIII, c'était une voie entière qui s'ouvrait à notre passage

...du vintage quoi!
