Essai - Beatlegeorges et la Bellagio
Publié : 01 mai 2011, 15:40
Samedi 30/04, 10h30, j'arrive chez YE Motori (Paris XVIII). Je souhaite prendre rdv pour un essai de Bellagio en profitant du Guzzi tour. J'ai acheté chez lui en 2008 une 750 Breva qui totalise maintenant 36 000 kms.
- Pourquoi pas maintenant, vous avez pas une heure à perde ?
-Heu, si si, ben ouais ouais.
Et c'est parti, une machine de 74 kms, donc pas rodée.
Je m'assois, la selle est dure, mais je suis bien calé dedans. Je ne suis pas grand (1,71) mais j'ai les 2 pieds bien à plat, plus que sur la 750. Grace aux cales pieds mieux placés sans doute, et la machine n'est pas très haute.
Coup de pouce, vroum vroum, chouette bruit, plus rauque et caverneux que la 750. Je débéquille, ben moi j'aime bien comme elle est placée, ça change et je la choppe facile.
Allez, on y va, première, seconde, mais mais, pourquoi j'ai pas une boite comme ça sur la 750, hein ? J'ai pas du raquer assez ! Les vitesses passent toutes seules, le pied.
Autant le dire tout de suite, c'est un vélo, on se faufile comme on veut, en ville, pas de problème.
Et c'est tant mieux parce que je rate en beauté l'entrée de l'autoroute A1, et me voilà en route vers St Denis, Pierrefite, vous savez, par les travaux du tramway... Enfer et damnation !
Une demi-heure après, je m'arrache enfin de la circulation, allez je tourne la poignée juste pour voir. Houla houla, du calme ma beauté, 150 sur la nationale, c'est pas raisonnable. J'ai le vent dans la quiche, jusqu'à 120 ça va, mais au-dessus, il faut prendre une position de coureur cycliste, pare brise obligatoire !
Par contre je m'éclate, limite le coup de pied au cul, et la moto est pas rodé.
Le couple est placé plus haut que sur la 750, on atteint vite des vitesses importantes, gaffe au permis.
Un peu plus lourde que la Bréva, elle se place bien en virage, elle est saine, bien suspendu, et au bout d'une heure et demie, bien que la selle soit dure, j'ai pas mal aux fesses.
Il manque un compte tour, je suis un peu perdu dans mes 6 vitesses, et je n'ai pas vu si il y avait le rapport engagé dans un des trip ? Mais je m'en fous, quelque soit le rapport engagé, elle a pas brouté une seule fois. Diable diable, voilà une moto qui semble faite pour moi !
Les montées en régime sur la A1 (ouais, pour le retour, je l'ai retrouvé) sont impressionnantes par rapport à ma 750, qui s'essoufle vite et qui semble toujours à l'agonie quand je roule à 150 longtemps.
Là, on sent qu'on peut rouler vite longtemps, pas de soucis.
Merde, c'est vachement bien quand même, j'irais bien au bout du monde avec une meule pareille.
Bon, je la ramène, on discute, Eddy me dit que je l'achète quand je veux et à bientôt... Il rigole, il sait !
Bon je reprend ma 750 et je rentre. Ben elle est pas si nulle en comparaison, elle est... différente. On roule moins vite, mais avec plaisir.
Pour conclure, après la 750, la Bellagio me parait vraiment idéale. Elle est belle, et donne le sourire à son guidon.
Je commence les économies. Mais ça va être dur de me séparer de ma 750.
Profitez bien de votre moto et à bientôt j'espère dans ce topic.
- Pourquoi pas maintenant, vous avez pas une heure à perde ?
-Heu, si si, ben ouais ouais.
Et c'est parti, une machine de 74 kms, donc pas rodée.
Je m'assois, la selle est dure, mais je suis bien calé dedans. Je ne suis pas grand (1,71) mais j'ai les 2 pieds bien à plat, plus que sur la 750. Grace aux cales pieds mieux placés sans doute, et la machine n'est pas très haute.
Coup de pouce, vroum vroum, chouette bruit, plus rauque et caverneux que la 750. Je débéquille, ben moi j'aime bien comme elle est placée, ça change et je la choppe facile.
Allez, on y va, première, seconde, mais mais, pourquoi j'ai pas une boite comme ça sur la 750, hein ? J'ai pas du raquer assez ! Les vitesses passent toutes seules, le pied.
Autant le dire tout de suite, c'est un vélo, on se faufile comme on veut, en ville, pas de problème.
Et c'est tant mieux parce que je rate en beauté l'entrée de l'autoroute A1, et me voilà en route vers St Denis, Pierrefite, vous savez, par les travaux du tramway... Enfer et damnation !
Une demi-heure après, je m'arrache enfin de la circulation, allez je tourne la poignée juste pour voir. Houla houla, du calme ma beauté, 150 sur la nationale, c'est pas raisonnable. J'ai le vent dans la quiche, jusqu'à 120 ça va, mais au-dessus, il faut prendre une position de coureur cycliste, pare brise obligatoire !
Par contre je m'éclate, limite le coup de pied au cul, et la moto est pas rodé.
Le couple est placé plus haut que sur la 750, on atteint vite des vitesses importantes, gaffe au permis.
Un peu plus lourde que la Bréva, elle se place bien en virage, elle est saine, bien suspendu, et au bout d'une heure et demie, bien que la selle soit dure, j'ai pas mal aux fesses.
Il manque un compte tour, je suis un peu perdu dans mes 6 vitesses, et je n'ai pas vu si il y avait le rapport engagé dans un des trip ? Mais je m'en fous, quelque soit le rapport engagé, elle a pas brouté une seule fois. Diable diable, voilà une moto qui semble faite pour moi !
Les montées en régime sur la A1 (ouais, pour le retour, je l'ai retrouvé) sont impressionnantes par rapport à ma 750, qui s'essoufle vite et qui semble toujours à l'agonie quand je roule à 150 longtemps.
Là, on sent qu'on peut rouler vite longtemps, pas de soucis.
Merde, c'est vachement bien quand même, j'irais bien au bout du monde avec une meule pareille.
Bon, je la ramène, on discute, Eddy me dit que je l'achète quand je veux et à bientôt... Il rigole, il sait !
Bon je reprend ma 750 et je rentre. Ben elle est pas si nulle en comparaison, elle est... différente. On roule moins vite, mais avec plaisir.
Pour conclure, après la 750, la Bellagio me parait vraiment idéale. Elle est belle, et donne le sourire à son guidon.
Je commence les économies. Mais ça va être dur de me séparer de ma 750.
Profitez bien de votre moto et à bientôt j'espère dans ce topic.
