Le rendez-vous des passionnés
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c'est pas plutot le contrairelapin a écrit :on se verra à Mandello ! Là, je pense que l'on verra beaucoup de Stelvio et peu de R1200GS ! YES !
Non il ne s'agit pas du protège carter d'origine Moto Guzzi, mais du modèle vendu par Stucchi dont je préfère la protection et l'esthétique.ZORRO 62 a écrit :Super tes photos....Cela donne vraiment envie. Pour ma part j'ai fait la Corse cet été avec la stelvio et je ne regrette pas non plus.
Je vois que tu as fait monter les pares cylindres cela t'as couté cher? C'est de la pièce d'origine je suppose? J'ai bien envie de faire la même chose car comme toi j'avoue que la bête un peu trop chargée et à trés basse vitesse peut parfois poser quelques problèmes d'équilibre et mieux vaut prevenir que guerir....
... Qui sont pourtant bien beaux 
Si tu avais lu soigneusement les posts, tu saurais qu'il s'agit de sur-sacoches de 10 à 15 l, avec soufflet, et bien étancheslaurent08 a écrit :Mais cékoidon au-dessus des valises ?... Ça en fait partie ou ce sont des sacoches que tu rajoutes ?
Un peu d'attention STP 
Vous aviez de la rechange, au moins ! ) et beau voyage, ça donne envie de repartir. Heureusement que j'ai mes montagnes à moi pas trop loin pour faire un break le temps d'un WE rallongé (elles sont bien aussi, mes montagnes, hein Laurent ?)
En effet avec le top case les 2 valises et les sur-sacoches nous avions environ 155 litres de capacité de bagages, ce qui était appréciable, d'autant plus que j'avais avant de partir eu la bonne idée de commander sur le site internet suivant http://www.compactor.fr/compactor-voyages.html des housses de voyage, permettant de compacter les vêtement très simplement en roulant les housses équipées sur le bas de valves automatiques. Cela permet de réduire de façon vraiment importante le volume des vêtements transportés.quatsoupap a écrit :TC + valises + sur-sacoches, ça fait plus de 150 l de bagagerie
Voici le lien de la page de la boutique italienne, où il y a les 2 modèles. Le noir comme le mien sans photo et le chromo en photo.ZORRO 62 a écrit :Merci JEFK pour ton retour. Question peux tu me donner le lien pour accéder au site STUCCHI et peux tu me dire si ces pares cylindres sont conçus pour monter les phares additionnels fournis chez Guzzi?
Merci d'avance pour ton retour
Bonne route
quatsoupap a écrit : Si tu avais lu soigneusement les posts, tu saurais qu'il s'agit de sur-sacoches de 10 à 15 l, avec soufflet, et bien étanches
'tain ! si je ne fais pas gaffe, je vais me retrouver avec des lignes à copier Ah ! Que oui !!Heureusement que j'ai mes montagnes à moi pas trop loin pour faire un break le temps d'un WE rallongé (elles sont bien aussi, mes montagnes, hein Laurent ?)
C'est tout l'attrait des jeunes maîtresses ... N'empêche, mes vieilles Ardennes nous ont encore offert quelques bons moments aujourd'hui 360 km dont la moitié avec Ludo51 Ca me rassure car j'ai eu le même ressenti que toi (voir mon post d'il y a 1 an sur mon voyage en Italie). Nous avons dû faire la même route entre Mandello et St Moritz. Je me souviens d'un col pas très haut où il y avait une épingle à droite costaud !!! En fait, c'était un mur. Entre l'entrée et la sortie, il y avait un dénivellé de plusieurs mètres, impressionnant !!! Et je me suis retrouvé à l'arrêt au milieu du virage, des voitures descendaient. Et suite à ce pù*µ€@ de virage, j'ai eu un blocage pour les épingles à droite dans les cols suivants, notamment le Stelvio face Est...JEFK a écrit :Avec la Stelvio, et vu ma petite taille, Il fallait faire tout de même attention lors des manoeuvres à basse vitesse car chargée la moto est lourde. Je me suis juste fais une frayeur dans le col qui va du lac de Côme en Italie à Saint Moritz en Suisse. Il pleuvait beaucoup, vers le haut du col à prés de 2000 mètres d'altitude il y avait des épingles très raides et très serrées, et surtout de nombreux camions et cars qui descendaient assez vite et m'arrivaient en face. N'aimant pas particulièrement les épingles à droite, là c'était l'horreur, et je me suis retrouvé bloqué dans une épingle avec une voiture arrêtée devant moi, et un car en face, et j'ai pas mal transpiré malgré le froid et la pluie.
Pour les dernières épingles, j'ai préféré assurer, en me mettant complètement à gauche, où il y avait dans chaque virage un espace de dégagement, et après m'être assuré que le camion ou le car qui descendait me laissait le temps de m'y mettre, et une fois que la voie était libre je repartais.
600 bornes en 2 jours à 5 motos pour rejoindre Mandello où nous serons demain matin m'ont permis de commencer â retrouver un peu de confiance dans les epingles, mais ce n'est pas encore tout à fait ça.Titi a écrit :Ca me rassure car j'ai eu le même ressenti que toi (voir mon post d'il y a 1 an sur mon voyage en Italie). Nous avons dû faire la même route entre Mandello et St Moritz. Je me souviens d'un col pas très haut où il y avait une épingle à droite costaud !!! En fait, c'était un mur. Entre l'entrée et la sortie, il y avait un dénivellé de plusieurs mètres, impressionnant !!! Et je me suis retrouvé à l'arrêt au milieu du virage, des voitures descendaient. Et suite à ce pù*µ€@ de virage, j'ai eu un blocage pour les épingples à droite dans les cols suivants, notamment le Stelvio face Est...JEFK a écrit :Avec la Stelvio, et vu ma petite taille, Il fallait faire tout de même attention lors des manoeuvres à basse vitesse car chargée la moto est lourde. Je me suis juste fais une frayeur dans le col qui va du lac de Côme en Italie à Saint Moritz en Suisse. Il pleuvait beaucoup, vers le haut du col à prés de 2000 mètres d'altitude il y avait des épingles très raides et très serrées, et surtout de nombreux camions et cars qui descendaient assez vite et m'arrivaient en face. N'aimant pas particulièrement les épingles à droite, là c'était l'horreur, et je me suis retrouvé bloqué dans une épingle avec une voiture arrêtée devant moi, et un car en face, et j'ai pas mal transpiré malgré le froid et la pluie.
Pour les dernières épingles, j'ai préféré assurer, en me mettant complètement à gauche, où il y avait dans chaque virage un espace de dégagement, et après m'être assuré que le camion ou le car qui descendait me laissait le temps de m'y mettre, et une fois que la voie était libre je repartais.